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Interviews et portraits

On se sent protégé, le coronavirus, on ne va pas l’attraper chez soi mais en sortant. Donc, il y a une phobie sociale. Au début, c’était un peu étrange et pénible, et on a trouvé notre rythme, on s’est créé de nouveaux rituels qu’on a choisis. L’anxiété provoquée par ce virus peut inciter à rester chez soi.

FRANCE INFO

Témoignage du 28/06/2020

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Ce phénomène d’évitement social n’est pas propre au Japon. Ceci dit, des commandements dans la société japonaise tels que les impératifs de trouver sa place dans une société uniformisante, de respecter codes et hiérarchie, tendent à favoriser l’apparition des hikikomoris.

FRANCE INFO

Témoignage du 14/04/2019

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Je partais du principe que, pour ma génération, l’insécurité de l’emploi devait avoir comme corollaire une certaine liberté. Puisque mon parcours professionnel n’était pas pavé, j’avais le droit de prendre quelques chemins de traverse.

LES ECHOS START

Témoignage du 26/02/2019

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Dans cette société où tout est codifié, encadré, il y a une violence inouïe lors du passage à l’âge adulte. Les jeunes passent de la liberté au monde du travail qui est plus que difficile. C’est ce passage-là qui m’intrigue.


LE PETIT JOURNAL

Interview du 18/02/2019

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Pour beaucoup, se faire hikikomori est un moyen de défense face à un futur qui s’annonce incertain, voire dénué de sens.
Je ne pense pas que la jeunesse japonaise soit la seule à avoir ce sentiment.

STUDYRAMA PRO

Interview du 08/02/2019

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Je passe beaucoup de temps à réécrire, touche par touche. Je n’aime pas les intrigues. Pour moi ça rend l’histoire factice. J’aime quand il y a des morceaux de vie. Pour moi, une intrigue c’est un effet spécial, il n’y en a pas dans la vraie vie.

LA SEMAINE DU ROUSSILLON

Portrait du 15/05/2017

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